Krach boursier et complot fasciste
Les fascistes savent que pour prendre le pouvoir, il faut qu'un krach boursier de très grande ampleur ait lieu. En 1929, le jeudi noir a sonné le début de la crise de 29 qui a permis aux nazis de prendre le pouvoir en Allemagne et de ravager l'Europe. Les fascistes espèrent réitérer l'opération en semant la panique sur les marchés boursiers, en lançant des rumeurs de krach, en poussant le monde à s'endetter, en exigeant une détaxation des profits boursiers.
Pour déjouer le plan fasciste, il faut taxer suffisamment les bénéfices financiers pour donner aux Etats les moyens de résister à un krach ; en ce qui concerne la Chine, elle n'a d'autre solution que de dévaluer fortement sa monnaie pour relancer les exportations et d'augmenter les impôts sur les profits financiers pour éviter la création de bulles boursières.
Il faut que tout le monde sache que les fascistes infiltrés partout vont essayer de provoquer une catastrophe économique. Il faut purger les médias de ces nazis infiltrés qui tentent de semer la panique. Il faut faire des listes de journalistes nazis, de manière à empêcher qu'ils ne prennent le contrôle de l'information. Il faut de même que la libéralisation des économies cesse, dans la mesure où l'ultralibéralisme conduit à la crise qui conduit au nazisme.
Pour éviter la catastrophe il faut monter les impôts et réguler l'économie.